Mao Lin
Milicien chercheur
| Sujet: Présentation de Xalaris Mar 16 Aoû - 2:18 | |
Sil Solris Xalaris •Nom : Sil Solris •Prénom : Xalaris •Surnom: Xala •Âge: 49 ans •Sexe: Masculin •Situation : célibataire •Orientation sexuelle: bisexuel • Elément: Feu
| •Lieu de naissance: Delistel •Origine: Delistel •Classe: undefined •Race: Drow pur sang •Guilde: Aucune pour l´instant •Métier: Sentinelle •Classe sociale: relativement aisée •Camp: Evolution - Astral |
Point de vie et points de magie:
Point de vie | 38 | Points de magie | 2 |
Grand et mince, Xalaris peut surprendre par sa taille importante. Il parait plus taillé pour la course que pour manier de très grandes et lourdes épées d´asthalt, un minerai assez rare chez les Droxs et très prisé. Et pourtant ... c´est ce qui étonne encore plus que sa taille : sa force physique assez conséquente. Il faut dire aussi que Xalaris s´est toujours entraîné dur pour obtenir un corps comme il l´entendait : d´athlète, pouvant résister à un rude traitement si besoin était. Il arbore une très longue chevelure immaculée, comme c´est souvent le cas chez ces êtres ; il en prend d´ailleurs tellement soin qu´elle apparaît parfois brillante. Son visage parait taillé à la serpe, avec des traits assez droits. Mais un sourire y est toujours fixé : que ce soit de joie ou mesquin, on verra difficilement Xalaris ne pas sourire. Comme ses confrères ce Drow a les yeux rouge, un peu étiré en amande. Sur son dos court une cicatrice monumentale, faisant comme un "x".
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La vie est avant tout un jeu dont il est important de fixer les règles ... à défaut de les connaître !" Voleur à ses heures perdus, macabre contemplatif, souvent tire-au-flanc et quelques rares fois en proie à des questionnements existentiels qui en rendraient plus d´un fou, Xalaris peut passer très rapidement du rire à la colère, très rarement les larmes. D´ailleurs il s´est juré de ne plus pleurer, pas depuis qu´il s´etait fait jeter à cause de cela. Ce jeune Drow peut parfois être étonnant : il peut demeurer quatre heures assis à observer une fourmilière et brutalement partir aller voler ou se battre "pour se défouler", comme il aime à le répéter. Il est très très proche de sa soeur, d´une façon qui en dérange plus d´un et laisse les autres interrogateurs, et à tendance à la surprotéger. N´ayant certes pas un mauvais fond, il rêve tout de même de devenir un pirate redouté, écumant les mers du monde et pillant à loisir ; il est convaincu qu´en travaillant suffisamment - et en volant encore plus - il pourrait s´acheter un bateau et partir à l´aventure.
La Révélation ne lui a fait ni chaud ni froid : les étoiles et ce qu´il peut y avoir au delà ne le passionne pas outre mesure. Il préfère se dire qu´elles sont là pour guider les hommes sur leurs chemins - en servant de cartes - et pour porter chance, pourvu que le souhait fait soit suffisamment fort. A noter aussi que Xalaris aime par-dessus tout les armes, et surtout les plus redoutables des armes technologiques dernièrement mises au point. Il s´est d´ailleurs offert un fusil d´astral particulièrement cher et il possède deux petites dagues assez efficaces contre les gens de l´aura ... Enfin, il voue un véritable culte à Aderaldan qui sait être totalement indifférent au sort des êtres de ce monde. Mais il ne peut s´empêcher de le vénérer, lui adressant chaque jour une prière muette, un souhait par-ci par-là, ou tout simplement pour se donner du courage dans l´un de ses délits quelconques ...
"Non Xalaris, n´essaie même pas de m´en dissuader ; j´irai le voir, un point c´est tout !" La jeune fille se laissait certes approcher par lui, mais elle conservait ses distances. Et pire encore, elle ne semblait pas vouloir démordre : c´était avant tout son petit ami. A Ohrazion les jeunes demoiselles incapables de voir son charme ! - Allons allons Faryn, je suis persuadé qu´il pourra t´attendre ... juste quelques minutes avec moi, c´est tout ! Finalement la jeune fille lui asséna une claque bruyante avant de repartir, la tête haute. Xalaris se massa la joue, nullement affecté par sa mésaventure : des femmes il y en avait des dizaines rien que dans cette ruelle. Et des hommes aussi, donc aucune crainte qu´il ne passât la nuit seul ... -XALARIS !!! MAIS PAR ADERALDAN QUE FOµUS-TU LA ?!? L´interpellé se retourna et fit la moue : Morwenn, leur préceptrice, l´avait retrouvé. Il sentait venir le vent de la colère et prépara déjà un petit discours qui pourrait l´excuser un tout petit peu. Sauf qu´au moment où il allait pour ouvrir la bouche, Morwenn lui donna une claque, elle aussi très bruyante. Mais surtout plus douloureuse que la précédente. - Mais mais Morwenn ! Mais pourquoi ?! - Je crois que tu as oublié que tu devais travailler aujourd´hui, n´est-ce pas ? Ce sont tes employeurs qui sont venus me trouver ! Tu devrais avoir honte, tu ... Xalaris se contenta de hocher la tête, connaissant presque par coeur chacune des phrases que lui sortait alors sa préceptrice : c´était une question de morale et d´honneur que de bien faire son travail, de s´y présenter dès que c´était à son tour. Qu´il était très mal vu de ne pas faire ce que les gardes demandaient, etc etc. Toujours le même refrain, qu´un bruit violent suivi d´un hurlement interrompit brutalement. - Hayda !, s´exclama le jeune homme avant de partir en courant et de laisser là sa préceptrice.
Il finit par arriver dans une ruelle étroite, où trois loubards s´acharnaient sur une femme. Sa soeur. Son sang ne fit alors qu´un tour et il se rua sur les adversaires sans réfléchir. Il se prit rapidement de violents coups et perdit connaissance brusquement. A son réveil il était chez lui, dans son lit. Sur la commode qui jouxtait le meuble était posé ses armes et une serviette. Il en profita pour s´essuyer le visage et se leva avant de quitter la pièce. Il arriva alors dans le salon, là où se tenaient ses parents, sa préceptrice, les parents des trois jeunes hommes qui ennuyaient sa soeur et cette dernière, en larmes et blessée au visage. Il dut se retenir de se jeter de nouveau sur les trois forcenés et attendit que ses parents ou les autres prissent la parole. -[i]Nous sommes désolés, fit simplement la mère des trois hommes avant de les faire avancer à coup de pieds dans les fesses et de partir de la pièce. - Nous vous avons trouvés, expliqua le père de Xalaris. Ils ne sont pas prêts d´être acceptés quelque part, désormais. Xalaris fit la moue. Ses parents, très influents, pouvaient décider de facilité ou non l´insertion sociale de telle ou telle personne. Et généralement leur aide ou leur contre-aide était très ... efficace. Mais cela ne lui fit pas pour autant plaisir : rien n´effacerait ce qu´avait subi sa soeur. Aussi il se jura qu´il la protégerait toujours, quoique cela lui en coûtât. |
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